Hommage à Madame Léa BOIS
Que sèchent nos larmes en ce temps de douleur
Qu’elles cèdent la place aux sourires des cœurs !
Hommage à cette femme, aux gestes de bonté,
Visible fut son univers d’amour, de générosité.
Fruit du chaud soleil, cette dame distinguée,
Par ses rayons, brillait le chic de sa flamme.
Reflets merveilleux, c’est l’éclat de son âme,
Le moindre regard, dévouement et sensibilité.
Les grâces du ciel imbibèrent sa vie
De piété religieuse, de dévotion à Marie.
Elle imprégna les cœurs du don de la foi,
Ceux des enfants, du Saint de leur choix.
Dans sa noble carrière, celle d’éducatrice,
Elle inculqua la discipline, le sens de l’effort,
Le goût de l’excellence, la passion des arts.
Fiers, sommes-nous, qu’elle fut notre mentor !
Femme au grand cœur, ô combien attentionnée,
Au sort des démunis, ses petits bien-aimés.
Son amour est si vrai, ses réalisations si grandes,
D’aussi belles âmes se comptent en tout petit nombre.
Elle est partie sans bruit, sa mission accomplie,
Au royaume des cieux, portée par une mésange
Et on entend, au loin, l’écho de sa mélodie
Qui parle d’amour, au grand concert des anges.
Marilyn
13 mars 2009
Que sèchent nos larmes en ce temps de douleur
Qu’elles cèdent la place aux sourires des cœurs !
Hommage à cette femme, aux gestes de bonté,
Visible fut son univers d’amour, de générosité.
Fruit du chaud soleil, cette dame distinguée,
Par ses rayons, brillait le chic de sa flamme.
Reflets merveilleux, c’est l’éclat de son âme,
Le moindre regard, dévouement et sensibilité.
Les grâces du ciel imbibèrent sa vie
De piété religieuse, de dévotion à Marie.
Elle imprégna les cœurs du don de la foi,
Ceux des enfants, du Saint de leur choix.
Dans sa noble carrière, celle d’éducatrice,
Elle inculqua la discipline, le sens de l’effort,
Le goût de l’excellence, la passion des arts.
Fiers, sommes-nous, qu’elle fut notre mentor !
Femme au grand cœur, ô combien attentionnée,
Au sort des démunis, ses petits bien-aimés.
Son amour est si vrai, ses réalisations si grandes,
D’aussi belles âmes se comptent en tout petit nombre.
Elle est partie sans bruit, sa mission accomplie,
Au royaume des cieux, portée par une mésange
Et on entend, au loin, l’écho de sa mélodie
Qui parle d’amour, au grand concert des anges.
Marilyn
13 mars 2009
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(1) De la lettre de Marilyn adressée à la famille Bois et à laquelle est joint ce beau poème, Le Coin de Pierre publie ces extraits:
«... ce petit texte...n’est qu’un humble hommage à une grande femme, votre mère, ma mère…»
« Il n’a pu être entièrement rimé car je tenais à certains mots, certaines expressions, qui traduisent ce qu’elle a été pour moi et qui disent comment ses empreintes ont marqué ma vie...»
« J’ai perdu ma Chère Directrice…»
« Rentrée à l’école primaire dès l’âge de trois ans et demi, elle avait perçu mes potentialités et du coup, m’avait transmis d’innombrables valeurs.»
«...Que les mots, venant du fond de mon cœur, soient symboles de ma reconnaissance à son égard!»
...
Marilyn
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