Pauline Marois
***
Éditions Fides, 2008, 264 pages
FC2926.1.M37A3 2008
ISBN 9782762127676
Il ne m’a fallu que quelques heures, dans un intervalle continu de 24 heures, pour lire l’autobiographie de Madame Pauline Marois. C’était entre le 23 et le 24 juin dernier. L’atmosphère de la fête de la Saint-Jean s’y prêtait bien. Le court temps que j’ai mis à lire l’ouvrage et l’attention particulière que j’ai pris soin de consacrer à cette lecture, n’ont pas manqué d’intriguer mon entourage. «Québécoise» est un livre que, une fois qu’on le tient dans ses mains, on ne lâche que quand on arrive à la dernière page. Ce n’est donc pas étonnant que, dans mon entourage immédiat, il ne manque pas de personnes qui, impatiemment, attendent leur tour pour dévorer, comme je l'ai fait, le livre de Pauline Marois.
Bien qu’elle soit d’un parti politique pour lequel nous ne votons pas, Madame Marois demeure une personnalité qui a toujours mérité notre admiration. C’est peut-être ce qui explique un peu l’empressement avec lequel nous avons entrepris cette lecture.
FC2926.1.M37A3 2008
ISBN 9782762127676
Il ne m’a fallu que quelques heures, dans un intervalle continu de 24 heures, pour lire l’autobiographie de Madame Pauline Marois. C’était entre le 23 et le 24 juin dernier. L’atmosphère de la fête de la Saint-Jean s’y prêtait bien. Le court temps que j’ai mis à lire l’ouvrage et l’attention particulière que j’ai pris soin de consacrer à cette lecture, n’ont pas manqué d’intriguer mon entourage. «Québécoise» est un livre que, une fois qu’on le tient dans ses mains, on ne lâche que quand on arrive à la dernière page. Ce n’est donc pas étonnant que, dans mon entourage immédiat, il ne manque pas de personnes qui, impatiemment, attendent leur tour pour dévorer, comme je l'ai fait, le livre de Pauline Marois.
Bien qu’elle soit d’un parti politique pour lequel nous ne votons pas, Madame Marois demeure une personnalité qui a toujours mérité notre admiration. C’est peut-être ce qui explique un peu l’empressement avec lequel nous avons entrepris cette lecture.
Voici, en grande partie, ce qu’on peut lire sur la page couverture :
« De son enfance dans une famille modeste sur la rive sud de Québec à son accession à la direction du Parti Québécois, en passant par ses années de formation, son mariage avec Claude Blanchet avec qui elle aura quatre enfants, ses années de travail dans le réseau des affaires sociales et ses nombreux combats comme députée et ministre, Pauline Marois nous raconte avec passion les principaux événements de sa vie personnelle et politique.»
«Souverainiste et sociale-démocrate déterminée, Pauline Marois a occupé les plus hautes fonctions dans les gouvernements de René Lévesque, Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Bernard Landry. Elle a mené certaines des plus importantes réformes qui ont transformé notre société.»
«À travers le parcours politique hors du commun d’une femme qui sera peut-être demain la première Québécoise à occuper la fonction de premier ministre, c’est toute l’histoire contemporaine du Québec que nous revivons dans ce captivant récit autobiographique.»
Le livre raconte de manière succincte la vie de l’auteure de sa naissance (1949) à son accession à la tête du Parti Québécois (2007).
Le livre comprend six chapitres et un épilogue.
Un seul chapitre (chapitre 1, « Une jeunesse québécoise», pages 11 à 40 (30 pages)) résume l’enfance, l’adolescence et le début de l’âge adulte de l’auteure. En peu de mots, elle dit, certainement pas tout, mais l’essentiel de cette période importante de sa vie : 1949-1978.
Tout le reste du livre concerne presque totalement la vie politique combien chargée de l’auteure (1978-2005):
· « Les années Lévesque », chapitre 2, pages 35 à 84 (50 pages) ;
· « Les années Parizeau », chapitre 3, pages 85 à 132 (48 pages);
· « Les années Bouchard », chapitre 4, pages 133 à 184 (52 pages) ;
· « Les années Landry », chapitre 5, pages 185 à 223 (39 pages).
Le chapitre 6, «Une citoyenne libre », résume la courte période de retrait de la vie politique active (2006-2007).
Enfin, le dernier chapitre intitulé, « Épilogue » termine l’autobiographie au moment où l’auteure retourne à la vie politique active, à ses conditions. Une nouvelle tranche de sa vie commence. Nul ne peut prédire quel destin lui réserve l’avenir.
Nous partageons pleinement avec l’auteure et femme politique ses idées sur la sociale-démocratie ; mais il me semble difficile de la suivre dans son rêve de bâtir un pays en divisant le Canada.
J’ai suivi de près l’histoire politique du Québec de 1975 à nos jours (avec une assiduité moindre entre 1977 et 1980 inclusivement). C’est donc avec une certaine curiosité que j’ai lu à travers le livre de Pauline Marois l’histoire de cette époque telle que l’a vécue de l’intérieur, l’un des acteurs politiques les plus proéminents.
Compliments, Madame Pauline Marois.
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